Et bien ! Encore une histoire de gros sous ! Après Kickstarter qui a généré plus de deux millions de dollars en quelques jours, prouvant aux gros éditeurs qu’un autre mode de financement est possible, voici-t-il pas que Dear Esther nous confirme qu’il existe une grosse demande pour les jeux indépendants.
En effet, alors que le soft venait à peine de sortir sur PC et était disponible sur Steam, les ventes ont tellement décollé que les développeurs ont pu amortir leur investissement en à peine…5h30. Une excellente surprise donc qui nous confirme deux choses : primo que le studio The Chinese Room fournit des soft innovants et de qualité, et deuxio que tout espoir n’est pas perdu, et qu’il existe encore des joueurs attendant autre chose que des grosses productions blindées d’effets spéciaux.