On continue à tester les jeux de nos amis de GeexGames qui enchainent les concepts et tente de se créer un joli CV. Cette fois, c’est Super Crate Box qui est remis à la sauce Geex. Pour le meilleur ?
Un jeu qui en fait des caisses !
Le concept est directement repris du jeu de Vlambeer : dans un stage sans aucun scrolling, plein écran, aux plusieurs plateformes et étages comme dans les bons vieux jeux d’arcade, vous contrôle un personnage devant récolter un maximum de caisse avant de se faire toucher par les ennemis qui arrivent de plus en plus nombreux et rapidement du haut de l’écran. Chaque caisse renfermer une arme, aléatoire, qui vous aidera à battre vos assaillants. Ici, vous remplacer l’univers du jeu original par un zombie en personnage principal et un environnement tout en crayonné pour vous faire une idée.
C’est très sympathique et le gameplay est efficace, c’est une certitude. Néanmoins, on sent que n’est pas Vlambeer qui veut d’un point de vue de l’intelligence artificielle. Elle est très bête et les parcours des ennemis ne sont pas toujours logiques. La difficulté est bien moindre face au modèle, voire même carrément ennuyante au bout d’un moment. Heureusement, il y a le mode de jeu « Survival » qui vous force à jouer avec aucune chance de vous faire toucher.
Copie pas franchement conforme…
Insane Zombie Carnage est très amusant et possède une particularité qui fera la différence pour une après-midi pluvieuse : il est jouable en coopération en local. Cette option est réellement la bienvenue et permet de sauver le jeu de l’absolu manque d’intérêt. Car c’est bien le problème lorsque l’on copie sans originalité les jeux déjà réalisés : on n’a rien à mettre en avant de nouveau et finalement, dur de proposer aux gens un jeu qu’ils ont déjà en « moins bien ».
GeexGames continue de nous prouver qu’ils en ont dans le ventre, qu’ils peuvent faire de belles choses et c’est donc avec beaucoup de franchise que nous allons continuer à suivre leurs projets. De plus en plus, ceux-ci possèdent des univers sympathiques, qui gagnent en singularité et par conséquent, on sent qu’il y a un petit trésor qui se cache quelque part dans les méninges de ces créateurs qui tâtent le terrain avant de sortir l’artillerie lourde. Vivement !