On en a déjà dit énormément sur cette Global Game Jam mais pour finir, il est de bon ton de parler des jeux créés lors de cet évènement Mine de rien, c’est un peu le but principal ! Toujours exclusivement dédié à la GGJ de l’Est cette semaine, Game Side Story vous propose de découvrir la douzaine de créations présentées le week-end dernier… Ainsi se conclut ce moment spécial du site, avec beaucoup de fatigue mais aussi et surtout plein de bons souvenirs ! Sérieusement, suivre ça en direct sur sa chaise de journaliste, c’est unique.
Human Wild
Par Tixis (Alvin Frey et Nicolas Bardy)
Synopsis : On y joue un coeur dans un endroit clos, devant collecter de la nourriture et des poches de sang pour gagner des points. En fonction de ces points, dans le seul niveau de base disponible, vous obtenez une médaille. Il y a aussi la présence d’un mode multijoueur (en écran splitté, mis en scène de façon à représenter une course d’une extrémité à l’autre de l’écran) et un autre mode avec des touches inversées.
Avis : Game Maker ne fait pas des merveilles et si Human Wild est très bien conçu, il n’en est pas moins parsemé de quelques petits bugs. L’équipe Tixis a mis l’accent sur le gameplay, sur un jeu terminé, plutôt que sur le visuel ici assez criard bien qu’aux plateformes bien conçues. C’est donc une belle réussite pour l’équipe qui est parvenue à terminer son jeu de Jam et qui, j’imagine, a bien compris que Game Maker n’allait au final leur poser que beaucoup trop de problème. Espérons qu’ils passeront sur un autre moteur !
Par Tixis (Alvin Frey et Nicolas Bardy)
Synopsis : On y joue un coeur dans un endroit clos, devant collecter de la nourriture et des poches de sang pour gagner des points. En fonction de ces points, dans le seul niveau de base disponible, vous obtenez une médaille. Il y a aussi la présence d’un mode multijoueur (en écran splitté, mis en scène de façon à représenter une course d’une extrémité à l’autre de l’écran) et un autre mode avec des touches inversées.
Avis : Game Maker ne fait pas des merveilles et si Human Wild est très bien conçu, il n’en est pas moins parsemé de quelques petits bugs. L’équipe Tixis a mis l’accent sur le gameplay, sur un jeu terminé, plutôt que sur le visuel ici assez criard bien qu’aux plateformes bien conçues. C’est donc une belle réussite pour l’équipe qui est parvenue à terminer son jeu de Jam et qui, j’imagine, a bien compris que Game Maker n’allait au final leur poser que beaucoup trop de problème. Espérons qu’ils passeront sur un autre moteur !
Snake Tycoon
Par Adrien Gsell, Thomas Atlenburger, Rémy Maetz, Guillaume Dubrez, Jonathan Jayet, Germain Ninder et Victor Dauphin.
Synopsis : C’est un jeu de gestion de train fantôme où il est nécessaire de placer des pièges sur les rails pour effrayer les gens qui y sont confortablement installés. Attention cependant : il ne faut ni rater l’objectif de les amuser, ni y aller trop fort et les tuer. Une jauge de rythme cardiaque est là pour savoir cela.
Avis : la réalisation n’est pas terminée, les pièges ne sont qu’au nombre de quatre, mais honnêtement le concept est carrément accrocheur. Je pense ne jamais l’avoir vu nulle part, ce mélange entre un Tower Defense et le monde du parc d’attractions et de la peur, ce qui rend Snake Tycoon particulièrement sympathique.
Par Adrien Gsell, Thomas Atlenburger, Rémy Maetz, Guillaume Dubrez, Jonathan Jayet, Germain Ninder et Victor Dauphin.
Synopsis : C’est un jeu de gestion de train fantôme où il est nécessaire de placer des pièges sur les rails pour effrayer les gens qui y sont confortablement installés. Attention cependant : il ne faut ni rater l’objectif de les amuser, ni y aller trop fort et les tuer. Une jauge de rythme cardiaque est là pour savoir cela.
Avis : la réalisation n’est pas terminée, les pièges ne sont qu’au nombre de quatre, mais honnêtement le concept est carrément accrocheur. Je pense ne jamais l’avoir vu nulle part, ce mélange entre un Tower Defense et le monde du parc d’attractions et de la peur, ce qui rend Snake Tycoon particulièrement sympathique.
Bamy’s Breaking Heart
Par Jean-Baptiste Scheibel, Pierson Cyril, Samir et Christophe Nick
Synopsis : Bamy est un robot au coeur mécanique défaillant. Après une chute, il se voit de plus en plus mal en point et va devoir traverser un entrepôt en affrontant les précipices, dans un Jump’n’Run classique mettant en place une perte de certains sens et modifiant le gameplay au fil des niveaux.
Avis : Ils n’ont malheureusement pas réussi à finir leur jeu et c’est bien dommage, car l’idée du robot défaillant et changeant le gameplay en fonction des pièces cassées est excellente. Visuellement assez simple, aux déplacements très bizarres lors de la présentation, Bamy n’a malheureusement pas pus montrer tout son potentiel. Néanmoins, les idées étaient bel et bien là !
Par Jean-Baptiste Scheibel, Pierson Cyril, Samir et Christophe Nick
Synopsis : Bamy est un robot au coeur mécanique défaillant. Après une chute, il se voit de plus en plus mal en point et va devoir traverser un entrepôt en affrontant les précipices, dans un Jump’n’Run classique mettant en place une perte de certains sens et modifiant le gameplay au fil des niveaux.
Avis : Ils n’ont malheureusement pas réussi à finir leur jeu et c’est bien dommage, car l’idée du robot défaillant et changeant le gameplay en fonction des pièces cassées est excellente. Visuellement assez simple, aux déplacements très bizarres lors de la présentation, Bamy n’a malheureusement pas pus montrer tout son potentiel. Néanmoins, les idées étaient bel et bien là !
Le Fil
Par Guillaume Hocquet, Vivien Roussel, Yannick Sellier, Arthur Brongniart, Adrien Favre, Timothy L’Huillier et Edouard Philippe.
Synopsis : Vivre trois moments de la vie d’un homme, l’enfance, les rencontres et la mort, d’une façon très mise en scène et onirique à certains moments.
Avis : Encore un jeu qui n’a pas eu la chance d’être pleinement terminé et surtout, qui s’est malheureusement pas bien déroulé lors de sa présentation devant le jury. Alors oui, l’idée était vraiment bonne et le peu de gameplay aperçu donnait réellement envie d’en savoir plus ! Dommage.
Par Guillaume Hocquet, Vivien Roussel, Yannick Sellier, Arthur Brongniart, Adrien Favre, Timothy L’Huillier et Edouard Philippe.
Synopsis : Vivre trois moments de la vie d’un homme, l’enfance, les rencontres et la mort, d’une façon très mise en scène et onirique à certains moments.
Avis : Encore un jeu qui n’a pas eu la chance d’être pleinement terminé et surtout, qui s’est malheureusement pas bien déroulé lors de sa présentation devant le jury. Alors oui, l’idée était vraiment bonne et le peu de gameplay aperçu donnait réellement envie d’en savoir plus ! Dommage.
A bloody (good) Anatomy
Par François Hosy, Exar_Kun et Azmaeve
Synopsis : Vous contrôlez un coeur à l’intérieur du corps humain et devez « repeindre » toutes les parois de sang. Oui, c’est dégoutant !
Avis : Le jury lui a décerné le titre du « Jeu le plus gore » mais il est aussi l’un des plus beaux. Pourtant, il est d’une simplicité extrême visuellement parlant, mais il est très propre sur lui (façon de parler, vu à quel point il est dégoutant dans son gameplay). Jouable sur iDevice avec le gyroscope, ce titre a réellement conquis les joueurs.
Par François Hosy, Exar_Kun et Azmaeve
Synopsis : Vous contrôlez un coeur à l’intérieur du corps humain et devez « repeindre » toutes les parois de sang. Oui, c’est dégoutant !
Avis : Le jury lui a décerné le titre du « Jeu le plus gore » mais il est aussi l’un des plus beaux. Pourtant, il est d’une simplicité extrême visuellement parlant, mais il est très propre sur lui (façon de parler, vu à quel point il est dégoutant dans son gameplay). Jouable sur iDevice avec le gyroscope, ce titre a réellement conquis les joueurs.
Cardiac Runner
Par Christophe Humbert, Nicolas Dinquel, Nathan Biagini et Thomas Cholley
Synopsis : Très inspiré de Super Meat Boy, ce runner à la demi-dizaine de niveaux propose des sauts plus hauts et une course plus rapide en fonction du rythme cardiaque. Si celui-ci baisse ou augmente de trop, le personnage explose.
Avis : Sans doute un peu trop ressemblant à son modèle, Cardiac Runner est néanmoins bien fini et propose des niveaux très sympathiques à jouer. L’originalité du rythme cardiaque venant influer sur la hauteur de sauts et la vitesse du personnage est une réelle bonne idée, qu’on aimerait beaucoup voir réutilisée à l’avenir !
Par Christophe Humbert, Nicolas Dinquel, Nathan Biagini et Thomas Cholley
Synopsis : Très inspiré de Super Meat Boy, ce runner à la demi-dizaine de niveaux propose des sauts plus hauts et une course plus rapide en fonction du rythme cardiaque. Si celui-ci baisse ou augmente de trop, le personnage explose.
Avis : Sans doute un peu trop ressemblant à son modèle, Cardiac Runner est néanmoins bien fini et propose des niveaux très sympathiques à jouer. L’originalité du rythme cardiaque venant influer sur la hauteur de sauts et la vitesse du personnage est une réelle bonne idée, qu’on aimerait beaucoup voir réutilisée à l’avenir !
Heart Z
Par Elisée Maurer, Kevin, Florent Poujol et Rosalie
Synopsis : Une petite fille doit combattre des zombies qui la poursuivent. Armée de mitraillette, elle peut les mettre à terre et doit résister le plus longtemps possible.
Avis : Hors-récompenses, puisque créé par Elisée Maurer lui-même membre du Jury, Heart Z est développé avec Craftstudio dont l’équipe est issue. C’est très propre, très professionnel, amusant et très correctement réalisé. Cela fait aussi office de belle vitrine pour CraftStudio et ses possibilités. C’est du coup, sans aucun doute, l’un des jeux les plus complets (mais le moins innovant) de cette Jam.
Par Elisée Maurer, Kevin, Florent Poujol et Rosalie
Synopsis : Une petite fille doit combattre des zombies qui la poursuivent. Armée de mitraillette, elle peut les mettre à terre et doit résister le plus longtemps possible.
Avis : Hors-récompenses, puisque créé par Elisée Maurer lui-même membre du Jury, Heart Z est développé avec Craftstudio dont l’équipe est issue. C’est très propre, très professionnel, amusant et très correctement réalisé. Cela fait aussi office de belle vitrine pour CraftStudio et ses possibilités. C’est du coup, sans aucun doute, l’un des jeux les plus complets (mais le moins innovant) de cette Jam.
<3, Drugs & Rock’n’Roll
Par Nicolas Parcollet, Nicolas Gramolini, Michael Rao, Laurence Vagner, Alain Vagner et Olivier Poncin
Synopsis : Un jeu de rythme multijoueur vous demandant de taper des notes en rythme, sur une musique plus ou moins bourrine (du Reggae au Metal) en fonction du rythme cardiaque.
Avis : Son gros défaut ? Il semble « quelconque » dans son gameplay. Ses qualités ? Sa finition exemplaire, son humour (Game Overdose), son amour de la musique, la précision de ses notes et un thème très bien adapté. Alors oui, il paye son manque de profondeur narrative, mais il est impossible de nier le potentiel de ce jeu si il était lancé à plus grande envergure. En tant que fan de jeu de rythme, moi, je suis en tous les cas conquis.
Par Nicolas Parcollet, Nicolas Gramolini, Michael Rao, Laurence Vagner, Alain Vagner et Olivier Poncin
Synopsis : Un jeu de rythme multijoueur vous demandant de taper des notes en rythme, sur une musique plus ou moins bourrine (du Reggae au Metal) en fonction du rythme cardiaque.
Avis : Son gros défaut ? Il semble « quelconque » dans son gameplay. Ses qualités ? Sa finition exemplaire, son humour (Game Overdose), son amour de la musique, la précision de ses notes et un thème très bien adapté. Alors oui, il paye son manque de profondeur narrative, mais il est impossible de nier le potentiel de ce jeu si il était lancé à plus grande envergure. En tant que fan de jeu de rythme, moi, je suis en tous les cas conquis.
Mirrored Love
Par Simon Albou, Sébastien Fouque, Hugues Barlet et Samy Badache
Synopsis : Un petit garçon et une petite fille sont amoureux, mais sont séparés par un effet miroir qu’ils doivent absolument combattre pour se retrouver. L’écran est alors scindé en deux dans ce Jump & Run ou l’on contrôle les deux personnages simultanément, avec un level-design totalement différent (mais logique) de chaque côté du miroir.
Avis : Visuellement extrêmement mignon, à l’amourette et la romance bien présente (et gravement absente de la plupart des jeux de cette Jam), Mirrored Love est très réussi et fait partie du haut du panier de la compétition. Son seul défaut, finalement, c’est qu’il se repose beaucoup sur un concept de miroir déjà vu autre part (avec par exemple A Tale By Alex que nous avions déjà testé dans nos colonnes).
Par Simon Albou, Sébastien Fouque, Hugues Barlet et Samy Badache
Synopsis : Un petit garçon et une petite fille sont amoureux, mais sont séparés par un effet miroir qu’ils doivent absolument combattre pour se retrouver. L’écran est alors scindé en deux dans ce Jump & Run ou l’on contrôle les deux personnages simultanément, avec un level-design totalement différent (mais logique) de chaque côté du miroir.
Avis : Visuellement extrêmement mignon, à l’amourette et la romance bien présente (et gravement absente de la plupart des jeux de cette Jam), Mirrored Love est très réussi et fait partie du haut du panier de la compétition. Son seul défaut, finalement, c’est qu’il se repose beaucoup sur un concept de miroir déjà vu autre part (avec par exemple A Tale By Alex que nous avions déjà testé dans nos colonnes).
Keep Calm : Follow your Heart
Par Etienne Hebinger, Benjamin Mira, Loic Petit et Anthony Kempf
Synopsis : Un jeu de plateforme qui se voulait très complet, avec du saut, des énigmes, de la course, tout cela guidé par un petit rythme cardiaque en fond sonore.
Avis : Le peu de jeu aperçu est vraiment magnifique visuellement, mais l’équipe a bien malheureusement été trop ambitieuse. Du coup, rien n’a réellement été terminé et ce n’est qu’un bout de moteur qui a été entre aperçus. C’était franchement beau, très plaisant à découvrir et nul doute qu’avec plusieurs mois de développement on tenait une petite surprise. Vraiment dommage ! Mais c’est le piège le plus classique dans ce genre de compétition…
Par Etienne Hebinger, Benjamin Mira, Loic Petit et Anthony Kempf
Synopsis : Un jeu de plateforme qui se voulait très complet, avec du saut, des énigmes, de la course, tout cela guidé par un petit rythme cardiaque en fond sonore.
Avis : Le peu de jeu aperçu est vraiment magnifique visuellement, mais l’équipe a bien malheureusement été trop ambitieuse. Du coup, rien n’a réellement été terminé et ce n’est qu’un bout de moteur qui a été entre aperçus. C’était franchement beau, très plaisant à découvrir et nul doute qu’avec plusieurs mois de développement on tenait une petite surprise. Vraiment dommage ! Mais c’est le piège le plus classique dans ce genre de compétition…
Space Break’Heart
Par Mathieu Strzykala, Charly Lesieur, Cedric Cornelis, Striwx et Laurent Palaro
Synopsis : Un homme revit ses plus horribles cauchemars sur son lit d’hôpital. Il devra combattre les plus durs moments de sa vie, sous la forme d’un shoot « fixe » ou le personnage ne bouge pas du centre de l’écran. Le but est de tirer sur les projectiles qui sont lancés des extrémités de l’écran.
Avis : Le jeu n’est pas terminé et ne propose qu’un seul premier niveau, avec un petit enfant obligé de tirer sur des dictionnaires et des gommes pour ne pas se faire blesser par ses camarades qui le haissent. L’idée est bonne mais surtout, le gameplay est assez sympathique. Visuellement c’est aussi très mignon, surtout pour seulement 48 h de travail.
Par Mathieu Strzykala, Charly Lesieur, Cedric Cornelis, Striwx et Laurent Palaro
Synopsis : Un homme revit ses plus horribles cauchemars sur son lit d’hôpital. Il devra combattre les plus durs moments de sa vie, sous la forme d’un shoot « fixe » ou le personnage ne bouge pas du centre de l’écran. Le but est de tirer sur les projectiles qui sont lancés des extrémités de l’écran.
Avis : Le jeu n’est pas terminé et ne propose qu’un seul premier niveau, avec un petit enfant obligé de tirer sur des dictionnaires et des gommes pour ne pas se faire blesser par ses camarades qui le haissent. L’idée est bonne mais surtout, le gameplay est assez sympathique. Visuellement c’est aussi très mignon, surtout pour seulement 48 h de travail.
Heartbreaker
Par Geoffroy Aulagner, Fluck, Geoffrey Chapelle, Pierre-Emmanuel Bauer et Nosifone
Synopsis : Vous jouez un enfant dans une maison de retraite, avec un style très Rétro dans le principe d’étage à grimper (on se croirait réellement sur Nes et consorts). Entièrement en PixelArt, le jeu vous demande de passer derrière les personnes âgées du foyer et de crier fort dans le micro pour les blesser. À force, vous les tuez, récoltant ainsi des points.
Avis : L’équipe de ce jeu avait déja gagné le grand prix l’année dernière à Metz et c’est sans surprise (cela s’augurait déjà dès les premières prises en main durant le week-end) qu’ils réitèrent l’exploit. C’est simple, Heartbreaker est le jeu Parfait d’une Jam. Il est développé de A à Z, ne laisse rien au hasard, est très professionnel autant visuellement qu’au niveau de son gameplay assez original… En clair, il est prêt à être diffusé et joué chez un maximum de gens, sans que jamais on ai l’impression d’avoir un jeu de Jam créé en 48 heures. Ce Grand Prix est d’autant plus mérité que les membres de l’équipe ont réellement participé à l’ambiance de la Jam, en criant dans le micro pour le calibrer tout au long du week-end. La bonne idée ? Les avoir placés juste à côté des dortoirs. Certains les en remercient encore…
Par Geoffroy Aulagner, Fluck, Geoffrey Chapelle, Pierre-Emmanuel Bauer et Nosifone
Synopsis : Vous jouez un enfant dans une maison de retraite, avec un style très Rétro dans le principe d’étage à grimper (on se croirait réellement sur Nes et consorts). Entièrement en PixelArt, le jeu vous demande de passer derrière les personnes âgées du foyer et de crier fort dans le micro pour les blesser. À force, vous les tuez, récoltant ainsi des points.
Avis : L’équipe de ce jeu avait déja gagné le grand prix l’année dernière à Metz et c’est sans surprise (cela s’augurait déjà dès les premières prises en main durant le week-end) qu’ils réitèrent l’exploit. C’est simple, Heartbreaker est le jeu Parfait d’une Jam. Il est développé de A à Z, ne laisse rien au hasard, est très professionnel autant visuellement qu’au niveau de son gameplay assez original… En clair, il est prêt à être diffusé et joué chez un maximum de gens, sans que jamais on ai l’impression d’avoir un jeu de Jam créé en 48 heures. Ce Grand Prix est d’autant plus mérité que les membres de l’équipe ont réellement participé à l’ambiance de la Jam, en criant dans le micro pour le calibrer tout au long du week-end. La bonne idée ? Les avoir placés juste à côté des dortoirs. Certains les en remercient encore…
Torpeur
Par Aymeric Lamboley, Mathieu Habert, Thomas Lefèvre, Vincent et Alchymi
Synopsis : Une petite fille est en plein cauchemar. Une torche à la main, elle explore une contrée sombre et inquiétante. Soudain, elle tombe nez à nez avec un ours. Apeurée, elle se réveille dans sa chambre d’hopital. Le principe est simple : la petite fille trouve un doudou en forme de Nounours dans un placard. Elle s’en va alors se replonger dans un lourd sommeil espéré et tenter de combattre ce cauchemar qui la poursuit de nuit en nuit. En amenant le doudou jusqu’à l’ours, elle le calmera et pourra continuer son aventure. Plus loin, d’autres obstacles narratifs seront de la partie et là aussi, c’est un retour à la réalité qui lui permettra de continuer son épopée.
Avis : Magnifique, à la narration très intelligente, Torpeur est un petit bijou qu’il faut absolument que l’équipe de développement mène à son terme. Développé avec leur propre moteur de jeu, Torpeur a été récompensé du prix Coup de Coeur. Son seul défaut est finalement de ne proposer ici qu’un seul niveau, mais on s’attend à bien des heures splendides devant notre tablette avec ce jeu sans prétention, mais aux idées bel et bien présentes, qu’il ne faudrait absolument pas oublier. On veut la version finale !
Par Aymeric Lamboley, Mathieu Habert, Thomas Lefèvre, Vincent et Alchymi
Synopsis : Une petite fille est en plein cauchemar. Une torche à la main, elle explore une contrée sombre et inquiétante. Soudain, elle tombe nez à nez avec un ours. Apeurée, elle se réveille dans sa chambre d’hopital. Le principe est simple : la petite fille trouve un doudou en forme de Nounours dans un placard. Elle s’en va alors se replonger dans un lourd sommeil espéré et tenter de combattre ce cauchemar qui la poursuit de nuit en nuit. En amenant le doudou jusqu’à l’ours, elle le calmera et pourra continuer son aventure. Plus loin, d’autres obstacles narratifs seront de la partie et là aussi, c’est un retour à la réalité qui lui permettra de continuer son épopée.
Avis : Magnifique, à la narration très intelligente, Torpeur est un petit bijou qu’il faut absolument que l’équipe de développement mène à son terme. Développé avec leur propre moteur de jeu, Torpeur a été récompensé du prix Coup de Coeur. Son seul défaut est finalement de ne proposer ici qu’un seul niveau, mais on s’attend à bien des heures splendides devant notre tablette avec ce jeu sans prétention, mais aux idées bel et bien présentes, qu’il ne faudrait absolument pas oublier. On veut la version finale !
Petit, c’est le vrai nom de famille de Loïc ! XD
Ahah, je suis désolé !
Ne pouvant pas participer, ça m’a fait plaisir de pouvoir suivre un bon bout de jam de chez moi grâce à GSS =)
merci à vous et félicitation à tous les jammeurs ( d’ici et d’ailleurs ^^ ) !
Faut que je trouve du temps pour tester quelques projets !
Vive la Jam de l’Est !! (Lorrain Inside :p)
Vraiment content de découvrir les projets de ces joyeux fous, je testerai tout çà ce weekend !
Bravo à tous le monde, l’exercice, pour l’avoir vécu à Paris avec Coco et Kirub, n’est pas facile, et le retour à la vie ‘normale’ se fait dans la douleur ^^
Et j’ajouterais même qu’il faudrait qu’on la refasse ensemble! ( et pourquoi pas la faire à Nancy, dans le pays natal de notre cher Gurvy 😉 )
Haha si ça continue comme ça, il va y avoir plus de participant qu’à Paris ^^
Vous pouvez déjà réserver vos billet de train pour le 24 – 26 janvier 2014 😛
Pas de soucis, j’comprends qu’on peut croire à un surnom ! 😉
Bonne fin de soirée.