Vous savez, j’adore les jeux difficiles. Et pourtant, je suis plutôt mauvais aux jeux vidéo et je galère déjà sur des jeux plutôt faciles, alors je vous parle pas des plus difficiles. Enfin, ça dépend des genres. Non parce que je suis une bête du jeu de plateforme, tellement fort que je finis les jeux avant qu’ils soient développés. Evidemment, cette dernière phrase est totalement fausse.
Cloudberry Kingdom est un de ces jeux qui se disent hardcore. Ce jeu de plateforme développé par Pwnee Studios a pour caractéristique principale le fait que ses niveaux soient générés procéduralement, c’est-à-dire générés aléatoirement par une intelligence artificielle qui se chargera aussi de les rendre amusants à parcourir. Après avoir recruté quelques fonds lors d’un Kickstarter réussi, les développeurs du jeu ont réussi à obtenir un partenariat avec le géant qu’est Ubisoft. Ce dernier va surtout s’occuper de commercialiser le jeu, de la distribution au marketing, n’ayant aucun rôle dans le développement de celui-ci, les développeurs étant indépendants après tout. Avant de pleurer car le grand méchant Ubisoft va mettre de grands méchants DRM nécessitant le grand méchant uPlay dans le jeu, sachez donc que ce n’est pas leur faute et qu’ils ne s’occupent que de vous faire parvenir le jeu, le reste étant aux commandes de Pwnee Studios. Et puis cela ne peut-être que bénéfique. Profitant de son statut de géant, Ubisoft a en effet permis de développer de nouvelles versions du jeu sur de nouveaux supports. Celui-ci est ainsi prévu pour sortir ce printemps sur PlayStation 3, Xbox 360 PlayStation Vita, Wii U et Steam. Si vous voulez plus de détails, les développeurs ont fait un très joli et touchant dev diary expliquant l’histoire du jeu du début à de nos jours .