Rise : Race the Future

J’ai déjà eu l’occasion de le dire, j’adore les jeux de voitures très orientés arcade et tout particulièrement la série des Ridge Racer. Rise : Race the Future en est très fortement inspiré avec des véhicules puissants partant en glisse au moindre virage.

Deux modes de jeu sont disponibles : l’arcade où vous participerez à divers championnats d’une dizaine de courses chacun à la difficulté croissante et les défis où vous devrez accomplir toute une série d’objectifs (terminer au moins troisième, atteindre 215 km/h, ne pas utiliser le boost, etc.).

En parlant de boost, trois choix sont possibles : recharge lente quand vous roulez vite, recharge rapide durant les dérapages ou recharge à chaque nouveau tour.

Graphiquement le titre est plutôt agréable et vous pourrez découvrir 32 circuits répartis dans 4 environnements différents (ou 64 si vous comptez les courses en sens inverse). Certains tracés comporteront des étendues d’eau, dans ce cas votre véhicule se modifiera à la volée pour flotter et le pilotage sera totalement différent. Vous devrez également vous adapter aux conditions climatiques, sur route trempée par exemple les réactions du bolide ne seront pas du tout les mêmes.

Au fil de vos exploits, vous débloquerez une dizaine de voitures de plus en plus puissantes pour exploser les chronos.

Il est par contre un peu dommage que la navigation dans les menus ne puisse pas se faire entièrement à la manette, de façon assez incompréhensible certains boutons restent inaccessibles sans se servir de la souris. Autre petit regret, le jeu ne propose pas de mode multi, ni en local ni en ligne. Ça aurait pu être intéressant car l’IA est assez limitée, elle se contente de suivre un trajet prédéfini, quitte à tout percuter sur son passage.

Mais bon, j’ai passé une excellente soirée dessus et je suis persuadé que Rise : Race the Future plaira à tous les amateurs de jeux de voitures très arcades. De mon côté je le relancerai de temps en temps avec plaisir pour valider les défis et boucler tous les championnats.

Bestio

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