Porté par une musique de grande qualité, à la fraicheur rétro évidente, End of Dyeus vous proposer de jouer un amnésique se réveillant en pleine contrée inconnue sans trop savoir ce qu’il doit y faire. En vue à la première personne, il va vous falloir vous battre contre des ennemis à l’intelligence artificielle simple : s’ils vous voient, ils vous frappent. Vos points de vie diminuent rapidement mais heureusement, tout le loot que vous obtiendrez dans les coffres disséminés à travers le monde restera en votre possession si vous mourrez.

Une fois mort, vous recommencez à votre point de départ. Sauf si vous avez jeté une pièce dans une fontaine, ce qui fait office de checkpoint.

Dans cette version de démonstration, il était possible de découvrir plusieurs camps ennemis. L’occasion aussi d’affronter plusieurs classes d’adversaires ainsi que quelques bestioles bien agressives.

Au cycle jour/nuit particulièrement réussi, End of Dyeus propose une ambiance absolument délicieuse qui semble réellement provenir de ces premiers jeux Windows qui ont parcouru l’enfance de beaucoup. Il est néanmoins beaucoup plus accessible : les checkpoints sont nombreux et l’arsenal assez varié pour qu’on puisse établir des stratégies d’attaque amusantes.

Aussi, il y a du loot : une meilleure épée, une arbalète à la place de votre arc, une lance et bien d’autres armes seront au rendez-vous. Chaque arme à ses propres mouvements, animations et patterns d’utilisation ce qui est vraiment agréable. Par exemple : cette épée +10 ne m’a jamais convaincu face à ma dague +8, tout simplement à cause de la façon de l’utiliser, qui m’obligeait à exposer une faille énorme à mes ennemis qui en profitaient pour me donner un coup de côté bien difficile à éviter.

D’ailleurs, nous avons un bouclier ! D’un simple clic droit, celui-ci bloque pratiquement toutes les attaques et en fonction de la force encaissée, nous fait reculer quelque peu. C’est très agréable à jouer et cela donne un petit coté réaliste dans ce monde très simpliste.