12 Sorti fin 2017 sur Xbox One et PS4, Lightfield a débarqué il y a
Daedalic, que l’on connaît principalement pour ses point’n click, s’offre avec State of Mind un
J’ai eu un coup de foudre pour Planet Alpha la première fois que j’ai vu
Vouloir faire de la musique en Réalité Virtuelle est quelque chose qui me parle énormément.
Ils ont dépensé sans compter pour créer plusieurs suites à un film mythique et à chaque fois, ce fut entre le « mouaif » et le scandale pour le public. Profitant de l’aura de la nouvelle franchise Jurassic World, l’équipe de développement du déjà fortement sympathique (mais critiquable) Planet Coaster a eu la belle opportunité de s’attaquer au parc de dinosaures. On n’avait pas vu ça depuis le trop vite oublié Opération Genesis et l’extension d’un Zoo Tycoon qui proposait surtout d’ouvrir des enclos de vaches à coté de celui d’une famille de T-Rex…
Penny est morte. Mieux encore : Penny est morte et la Mort elle-même prend sa retraite
Développé par une jeune équipe indépendante espagnole, Noahmund est un melting-pot de ce que peuvent aimer des fans de J-RPG ayant joué à tous les titres du genre depuis vingt ans. Proposant une histoire semble-t-il solide, se montrant avec quelques visuels de qualité, Noahmund n’a cependant pas la prétention de tout faire comme un grand. Et cela oblige à quelques compromis.
Voici un jeu qu’on attendait avec impatience. Débuté il y a quatre ans, en apportant un grand bol d’air frais dans les jeux de rôle tactiques, la série de Stoic Studio va enfin nous révéler la fin du voyage de nos vikings préférés, dans ce comte de fuite et de trahison, saupoudré d’un peu de baston parce que ce sont quand même des vikings. A consommer de préférence en ayant fait les deux précédents titres, évidemment.
Si j’ai toujours eu une préférence pour les jeux de baston Capcom, j’ai tout de
Production made in France, tiny & Tall : Gleipnir tente une plongée la tête en avant
En ces temps de canicule féroce, Frostpunk nous donnerait presque envie d’un hiver éternel. Un souhait que ne partageront très certainement pas les pauvres âmes de son monde post-apocalyptique en dessous du zéro Celsius, car une fois de plus, l’humanité a foiré. Le peu qui en reste va devoir s’abriter autour d’un générateur fonctionnant au charbon pour leur apporter une chaleur salvatrice dans un monde réfrigéré à l’extrême.
Les point’n click c’est rigolo, ça raconte des histoires farfelues et en plus c’est souvent
Poétique avant tout, cette fable chantée fait davantage officie de musical interactif que de jeu
Les remasters ont ce truc cool de permettre de découvrir des jeux d’une ancienne époque
Ça faisait un bon moment que je devais écrire une petite critique de Synthetik, mais c’est qu’il ne se laisse pas apprivoiser facilement l’animal ! Développé par deux Allemands, le jeu est un twin stick shooter « réaliste ». Comprenez par là que contrairement aux apparences il ne suffira pas de foncer dans le tas en tirant dans tous les sens, mais de nombreux paramètres seront à gérer (localisation des dégâts, éjection manuelle du chargeur, timing précis pour les rechargements, gestion de la surchauffe, les armes peuvent s’enrayer, etc.).
Annoncé comme un ersatz de voyage aux mille couleurs, sans vraiment de précision sur son contenu, Shape of the World se lance avec curiosité plus qu’avec assurance. On ne sait pas sur quoi on va tomber. Et puis vient le temps, béni, du bouche à oreille, qui a tout intérêt à laisser ce titre trouver son public, tant il le mérite.
Si on m’avait dit que je jouerais un jour à Titan Quest sur console je
On a laissé Clémentine dans une piteuse troisième saison, faite de quelques personnages bien écrits mais d’un casting globalement fade, d’une histoire téléphonée, d’un manque de profondeur violent et surtout, d’une technique à la ramasse. Il était temps que Telltale se réveille et joie : ils l’ont fait.
Assez quelconque dans son fonctionnement, Mad Age & This Guy combine du Sokoban (pousser des
Vaste blague à laquelle on croyait pourtant un peu, Sigi est un jeu qui se