
Princes et princesses se mettent sévèrement sur la tronche dans ce dernier jeu signé Ankama,
Princes et princesses se mettent sévèrement sur la tronche dans ce dernier jeu signé Ankama,
Le renouvellement dans le jeu vidéo est quelque chose de très rare. Forcément, dès qu’un
Sans doute l’un des derniers gros jeux indépendants d’une console qui risque à tout moment
Je ne vais pas vous mentir, quand la clé d’Enter The Gungeon est arrivée à
Petit ovni vidéoludique, Cibele a tout du projet intrigant : un personnage féminin, de la vidéo
En revendiquant des influences telles que The Binding Of Isaac, Faster Than Light ou encore
Avez-vous déjà choisi le plus beau des bonbons dans un paquet pour vous rendre compte
Les aventures interactives de Dog Mendonça et Pizzaboy font suite à une bande-dessinée créée par
Après une trilogie rondement menée tambours battants jusqu’à un final controversé auprès de ses fans,
Je dois vous avouer que j’ai un petit faible pour les tacticals RPG, notamment sur
Mordheim est à l’origine un jeu de plateau de plus, qui à l’époque se multipliaient par centaine dans les sous-sols où se réunissaient de gros barbus fortement alcoolisés à la bière et autres spiritueux. Ce jeu à figurines reste pourtant un particularisme dans l’univers de Games Workshop. Et une rareté de nos jours. Ce qui explique sans doute pourquoi Rogue Factor y a vu l’opportunité de l’adapter dans un jeu vidéo.
Bienvenue dans la vie de Reynardo, renard plus roublard que trouillard qui devra faire face à un problème le dépassant de très loin. Spearhead Games nous prend royalement au dépourvu avec ce jeu d’action plein de fraîcheur qui s’illustre par un certain classicisme dans l’action et d’une providentielle idée dans sa manière de gérer son intrigue.
Dingaling Games (Austin Jorgensen) choisit d’appliquer une couche d’humour à son rpg en scrolling horizontal, partageant son jeu entre brutalité et rire riche. Prenant Earthbound pour base, Lisa The Painful reprend le JRPG là où la vague 16 bits l’avait laissée, la gueule de bois en plus.
Super Galaxy Squadron EX embrasse pleinement cet héritage et respecte la plupart des traditions du danmaku, ses diverses inspirations fièrement mises en avant. Cela va de son look retro au cœur de son gameplay en passant par ses musiques ; on retrouve dans le jeu de Psyche Studios et New Blood les sensations des shoot’em up ayant faits les beaux jours de l’arcade et des consoles des ères 16 et 32 bits.
Parmi les genres peu représentés sur la scène vidéo-ludique, le typing game obtient sans problème
La frontière entre le jeu vidéo et le cinéma est de plus en plus mince, de plus en plus complexe à définir. Alors que Telltale propose un gameplay à base de QTE, que Life is Strange place tout dans la mise en scène et ses personnages, après qu’Heavy Rain ait ouvert la voie, voilà que Quantum Break se propose de revenir à certaines idées des années 90 et des vidéos en FMV : le mélange de jeu et de prises de vue réelles.
Dur pour Disney Infinity 3.0 de sortir la tête de l’eau quand ses figurines semblent
Le prince Arslan n’en est pas à sa première adaptation au Japon, même si la dernière série de manga (aux visuels créés par le dessinateur/scénariste de Full Metal Alchemist, Hiromu Arakawa) est sans doute la plus populaire. C’est sur celle-ci est les quelques adaptations animées que ce jeu se base, reprenant l’entier moteur et concept des Musô. Oui, encore un.
Les salons, c’est l’occasion de voir les gros éditeurs et concepteurs parler aux plus petits et indépendants. Un jour, Phil Spencer (Xbox), Randy Pitchford (Gearbox) et quelques autres ont vu tourner Close Order dans un coin de présentation bruyant à la pause déjeuner…
Awesomenauts : Overdrive est le second gros DLC du jeu, après Starstorm. A vrai dire, je ne suis pas sûr de totalement comprendre ce qui appartient ou non à ce DLC. La page officielle du site décrit Overdrive comme une « extension » qui ajoutera au jeu bon nombre de features telles que un nouveau système de matchmaking et d’XP…