Behemot Studios, déjà responsables des sympathiques Alien Hominid, Castle Crashers et Battleblock Theater nous reviennent
Jeu Flash repris sur une multitude de plateformes, passé de mains en mains, entre éditeurs
Qui a eu cette idée folle un jour d’inventer le voxel et de le poser
Je me rappelle avec nostalgie de la boîte de Dungeon Keeper et des très
A bord d’une étrange machine, voyagez à travers d’immenses paysages enneigés vides de toute
Première réalisation du studio allemand Backwoods Entertainment, Unforeseen Incidents rentre dans la case des point
Au lancement de Chuusotsu, un message d’avertissement s’affiche prévenant que ce jeu ne promeut aucune forme de discrimination (on y reviendra) et que tu passeras 100 millions d’années en prison si tu le partages illégalement. Dans le même état d’esprit, je vais me permettre d’émettre à mon tour un avertissement.
Fin 2015, je vous parlais de Domiverse, un titre qui m’avait beaucoup rappelé Towerfall Ascension. Certains appellent ça un Brawler, d’autres un jeu d’arène, et moi je dis souvent un jeu de canapé. Si on voulait faire comme dans les années 90, on pourrait dire un Towerfall-like, sauf que si en apparence Domiverse est proche du jeu de Matt Thorson, il est en fait tout aussi proche de Super Smash Bros, à la sauce belge.
Avec Unavowed, Wadjet Eye donne l’impression de vouloir trancher avec ses habitudes pour mieux se mettre au défi. Retournant tout de même à ses premiers amours, leur dernier jeu d’aventure va mélanger le surnaturel si familier du développeur/éditeur avec l’intention d’offrir une expérience narrative à embranchements multiples. Alors, certes cette promesse a souvent été faite par d’autres sans jamais parvenir à nous convaincre. Mais avec celui-ci, il se pourrait bien que cela fonctionne.
Il aura fallu presque un an et demi à Yakuza 6 pour venir fouler les terres occidentales. Une attente entre-temps récompensée par la sortie de l’inédit Yakuza Zero et du remake de son premier épisode sorti tout de même en 2005 sur la Playstation 2. Ce nouveau volet ne marque sans doute pas la fin d’une des séries historiques de Sega, mais semble vouloir en tout cas conclure les aventures de son héros fétiche. La cinquantaine fringante, Kazuma kiryu va ainsi tirer sa révérence dans une dernière histoire sans pour autant nous quitter entièrement, Yakuza Kiwami 2 étant prévu pour cet été, les épisodes trois à cinq devant sortir au Japon d’ici à 2019 (sans annonce pour l’Europe à ce jour).
Explorer d’ésotériques mystères, investiguer ses rêves et étudier des ouvrages occultes, voilà le genre de chose que propose Cultist Simulator, développé par le jeune studio Weather Factory. Et, comme le suggère le titre, il sera évidemment également question de recruter des fidèles pour fonder son culte et le voir grandir…
En plus de pouvoir obtenir une version du jeu avant sa sortie, nous avons eu l’opportunité de poser des questions à l’équipe derrière le trés étonnant Cultist Simulator (sorti ce jour, le 31 mars) et déja responsables au sein d’un autre studio de l’univers de Sunless Sea.
Premier titre du studio espagnol Digital Sun Games, Moonlighter avait déjà conquis le cœur de nombreux joueurs lors de sa campagne kickstarter puisqu’elle s’était terminée à un peu moins de 135.000$ pour 40.000$ demandés. Il faut dire que les visuels et le principe du jeu faisaient envie : alterner entre exploration de donjons et vente d’artefacts dans sa boutique.
Mélangeant les vieux FPS, un peu de Rogue-Like et une gestion de base à la Fallout Shelter (mais en beaucoup plus simplifié), Bunker Punks se repose essentiellement sur un principe de Game Over récompensant le joueur avec de nouvelles updates pour une nouvelle partie plus intéressante et pleine de nouveautés.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les shmups. J’ai eu la chance
Juicy Realm fait partie des jeux qui séduisent au premier regard. Très coloré, fourmillant d’animations,
Il y a les gens bien qui font des hommages à Ghost and Goblins, comme
Après un hiatus d’un an, le Stunfest a remis sa parure de lumière et a envahi encore une fois le Liberté de Rennes pour un week-end sous le signe du jeu vidéo sous toutes ses formes, de la bagarre, de la musique, de la réflexion et de la galette saucisse.
Développé par le studio africain Funsoft (basé à Casablanca au Maroc), Rangi est un puzzle game en réalité virtuelle. Bienvenue dans un univers tribal coloré aux rythmes et sonorités envoûtants.
Dire que ce titre m’a déçu est un euphémisme : se vendant très bien visuellement grâce