Après avoir travaillé sur Diablo, Diablo 2, Hellgate London, Marvel Heroes et même Path of
Cher lecteur, afin de pouvoir au mieux vous satisfaire, cet article vous est proposé selon 2 registres de langue, à savoir « soutenu » ou « vulgaire ». En espérant pouvoir au mieux répondre à vos attentes…
Francisco Tellez de Meneses est un développeur heureux. Il est le créateur d’Unepic et Ghost 1.0, deux titres de qualité qui auguraient du meilleur pour ses projets à venir. Malheureusement, complètement passé inaperçu sur Kickstarter, son nouveau projet très original qu’est AFRAID n’a pas été financé.
On ne l’attendait pas forcément avec impatience, mais sa petite boule ronde était la bienvenue
On ne compte plus les jeux nés en game jam et aboutis par la suite en une version commerciale. Ayant participé à la “Adventure Timed Game Jam” il y a de ça plusieurs années, les quatre co-créateurs Kitty Calis (Guerilla Games, RageSquid), Jan Willem Nijman (Vlambeer), Jukio Kallio (Vlambeer) et Dominik Johan ont décidé de nous proposer aujourd’hui leur lettre d’amour à The Legend of Zelda: Link’s Awakening.
Vendre du dinosaure sur PSVR c’est forcément une évidence. ARK Park vend du rêve et nous annonce un tas de bestioles disparues à découvrir, le casque sur les yeux pour s’y croire comme en -240 millions d’années. Sauf que comme tout ce qui estampillé ARK, on a le droit à pas mal d’esbroufe.
Voilà un jeu Switch qui n’est pas beau : il propose des fonds noirs, une boule de couleur et des plateformes carrées. Il n’est pas bien original dans son principe : vous allez devoir changer la couleur de la boule en fonction de la plateforme ou elle se situe pour qu’elle accélère, mais aussi pour ouvrir ou fermer des portes et des ponts qui vous gênent le passage. Il ne se renouvelle pas énormément non plus.
Développé par un Cavia qui n’est plus l’ombre que lui-même depuis Drakengard et NIER (Yoka Taro n’est plus là et l’inspiration non plus), Bullet Witch est un des tout premiers jeux sortis sur Xbox 360 et PlayStation 3. Il nous raconte l’épopée incroyable (faux) de cette sorcière moderne qui tente de sauver la Terre de son déclin. Envahie par des hordes de démons, notre planète ne ressemble plus à rien et des humains tentent encore de survivre contre les envahisseurs.
Voyez ce jeu un peu fou comme un Crazy Taxi en vue « de haut » : vous êtes un énorme Mecha qui doit livrer des pizzas en pleine ville et ce, en un temps imparti.
Revoilà Sam Barlow ! 3 ans après Her Story, l’auteur revient avec une nouvelle expérience interactive, toujours basée sur des prises de vues réelles. Plus proche de la série que du jeu vidéo classique, Wargames s’inscrit dans un cadre expérimental non dénué d’intérêt.
Avec ce jeu, l’adage « la plume est plus forte que l’épée » prend tout sens ! Dans Spellspire du studio 10Tons (les heureux créateurs de Tesla vs Lovecraft, King Oddball et Tennis in the face) nous incarnons un petit magicien essayant d’atteindre le sommet d’une haute tour. Pour y parvenir il faudra s’armer d’une bonne baguette, de potions et d’un bon vocabulaire anglais.
Strickland ! Le royaume paisible où vivent les bonhommes bâtons, est subitement attaqué par un vilain dragon qui mange tout le monde sur son passage. Ahgrouh Ahgrouh ! Nous incarnons dans ce jeu un homme fort, courageux et séducteur… qui n’est pas du matin. Pour séduire notre douce et belle princesse à la ligne parfaitement dessinée, il nous faudra donc partir à l’aventure occire divers boss et monstres et sauver Strickland.
J’avais beaucoup aimé le premier Q.U.B.E. qui, tout en s’inspirant très fortement de Portal, proposait des défis originaux à base de manipulation de décor grâce à des gants colorés. Le second opus en reprend le principe. Nous jouons une archéologue se réveillant dans une structure inconnue dont elle va devoir atteindre le sommet. Pour cela, elle trouve au bout de quelques pas une paire de gants et peut commencer les premières interactions avec l’environnement.
Quand on regarde les premières images et vidéos de WorldNeverland – Elnea Kingdom, il en ressort deux choses : la laideur du titre avec un manque certain de personnalité et une atmosphère apaisante qui intrigue grandement. Surtout que le jeu nous propose une vie médiévale banale saupoudrée de donjons où l’on peut maraver du gros méchant. Une fois un personnage créé, on apprend que nous somme un·e voyageur·se fraîchement arrivé·e en ville et que nous n’avons qu’un permis d’un an pour rester en ville sans devenir un·e citoyen·ne de celle-ci.
Jeux à vagues d’ennemis apparaissant à trois ou quatre axes différents, devant vous et sur les côtés, Time Carnage VR fait dans l’absolu quelconque. Néanmoins, il propose une recette efficace qui offre à la VR de bons moments de panique lorsque vos ennemis sont trop proches, même si perdre est assez difficile en mode « Normal ». En effet, en plus de votre vie personnelle de tourelle humaine, vous aurez un bouclier que vous devez empêcher de tomber à zéro. Pour se faire, il faut vraiment le faire exprès et rater tous les ennemis alentours, qui viendront croquer dans ce bouclier pour en faire perdre l’énergie. Énergie qui remonte après chaque vague, sur la dizaine proposée par niveaux.
L’idée est assez géniale : vous êtes sur une ile déserte, un crabe converse avec vous et la radio met en avant une musique bien motivante pour vous empêcher de sombrer dans la solitude. Vous devez éviter de bruler et mourir en faisant du feu à l’aide des deux silex à claquer et des rondins de bois alentours, chopper des noix de coco pour vous nourrir après les avoir cassées, tailler au silex des branches de bambous pour faire une lance, attraper et faire cuire des poissons à l’aide de ces mêmes branches taillées pour vous nourrir davantage, éviter qu’un oiseau vienne vous voler vos objets, etc. Le nombre d’actions disponibles dans Island Time VR est très limité, mais amusant.
Tower Defense de son état, ce titre de Correcture Games AB ne vous expliquera absolument rien de ses unités, du gameplay. Se reposant comme si c’était normal sur l’évidente connaissance du joueur en matière de Tower Defense. Alors certes, quand on connaît le genre on est peu dépaysé : les tourelles sont un arsenal de base aux qualités et défauts évidents, ces mêmes tourelles peuvent être améliorées en plusieurs points (vie, dommages, etc) et il va falloir enchaîner les vagues d’ennemis pour obtenir de l’argent et acheter tout cela.
Sorti en 2005 sur PlayStation 2, Shadow of the Colossus est la suite spirituelle d’un ICO qui avait déjà marqué son temps. Développé par Fumito Ueda et son équipe, avec des musiques somptueuses de Kow Otani, Shadow of the Colossus est avant tout une œuvre qui en a marqué beaucoup. Après être ressorti « sans aliasing et upscalé sur PlayStation 3, voilà que ce jeu nous revient en un remake absolument sublime. Cela suffit-il à redonner une nouvelle jeunesse à cette expérience magique ?
De l’indépendant, de l’eSport, des tournois, du jeu de plateau, du jeu de rôle, du retrogaming, des jeux musicaux, l’offre était variée pour cette première édition estampillée PAX. Pour ceux qui ne le savent pas, PAX représente ce qui se fait de mieux en dehors de la France en termes de salons jeux vidéo et plus encore.
Candleman: The Complete Journey avait commencé son voyage sur Xbox One avant de ressortir sur Steam dans cette version plus aboutie. C’est un puzzle-pateformer jouant énormément sur le rapport de la lumière à l’obscurité en faisant sa thématique principale. Poétique et joliment réalisé, il se cache derrière sa discrète simplicité un titre étonnamment attachant et même intelligent dans sa structure.