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La Switch est l’occasion pour de nombreux éditeurs de ressortir des jeux sur un support
La Switch est l’occasion pour de nombreux éditeurs de ressortir des jeux sur un support
Après un premier épisode très réussi bien que lorgnant d’un peu trop près Left 4 Dead, Fatshark revient avec un second Warhammer Vermintide bien décidé à gommer les défauts soulevés par sa communauté. Le week-end dernier aura été l’occasion de tâter de la bête à l’occasion d’une beta.
Les Monster Hunter ne sont plus à présenter. De l’extérieur, ils ne ressemblent qu’à une vaste chasse aux monstres de la taille d’un train sinon plus, aux allures de dinosaures ou bien encore de créatures mythologiques, dragons, vouivres et compagnie. Ils sont aussi réputés pour leur nature volontairement chronophage absorbant peu à peu les heures de notre vie. Leur public est du genre fidèle et profondément en phase avec la philosophie d’un jeu qui n’a pas vraiment d’équivalent. Monster Hunter World est le dernier né de cette lignée sur consoles de salon, se sédentarisant alors qu’elle a connu ses plus grandes heures de gloire sur portables.
Aucun changement pour nos critiques les plus rapides, qui sont dédiées à tous types de jeux. Bons ou moins bons, ils sont ici juste parce qu’ils n’engagent pas à écrire un long pavé, s’expliquent très vite ou qu’il n’est pas nécessaire d’y passer des heures pour vous donner envie (ou non) de vous y plonger. L’occasion d’en rater encore moins, malgré un nombre de sorties toujours plus énorme alors qu’il n’y a toujours que 24 heures dans une seule journée… Cette page est mise à jour régulièrement tout au long du mois !
La Switch fait un carton (et oui, ce n’est plus un mystère) du coup les petits studios n’hésitent pas à convertir leurs jeux pour s’engouffrer dans la mine d’or de chez Nintendo, quitte à parfois ressortir des vieilleries affublées d’un adjectif mélioratif mais souvent sans scrupule… Est-ce le cas avec Shiftlings Enhanced Edition ?
Après une première saison en 5 épisodes amplement réussie, Orwell revient avec une seconde saison sous-titrée « ignorance is strength » (« l’ignorance, c’est la force », un des slogans de l’ANGSOC dans 1984, de George Orwell). Que nous propose Osmotic Studios cette fois-ci ?
Plein de promesses pour quiconque aime voyage et découvrir des atmosphères reposantes, InnerSpace débarque sur pas mal de support avec la ferme intention de confirmer qu’il en a dans le ventre. Poétique, il l’est. Mais qu’en est-il de la prise en main et de son gameplay global ?
L’histoire de la Chine et de ses Trois Royaumes n’est plus un secret pour les joueurs les plus assidus à la série des Musou de Koei Tecmo, tant la franchise est faite d’épisodes divers et variés. Même chose du coté du Japon et de ses Samouraïs, sans parler de la tonne de dérivés (Zelda, Fire Emblem, One Piece, Arslan, L’Attaque des Titans, Gundam, Berserk, Ken le Survivant…) proposés sous cette formule. On attendait ce neuvième épisode (le huitième au Japon) comme le messie, l’épisode du renouveau. A la place, on a eu le droit à une Alpha vendue plein pot.
La dernière fois que j’avais écrit sur un jeu se jouant en multi, c’était pour Rocket League. J’étais tombé amoureux du jeu et vu le nombre de copies vendues depuis, il semble que je n’ai pas été le seul à être conquis. Cette fois-ci pas de voitures volantes au programme, mais un sport brutal mêlant éliminations et esthétique à la Tron.
Le collectif Sokpop vient de lancer sa campagne Patreon. Pour un peu d’argent, ils vous offrent leurs créations et ce, régulièrement. Si financièrement, cela ne va rien révolutionner, artistiquement c’est plutôt intéressant pour un jeune studio de jeux vidéo indépendant. Tijmen Tio nous explique ce concept…
Ce n’est pas à vous qu’on va l’apprendre : le jeu indé, c’est un peu la jungle. Et parfois, dans la jungle, il arrive qu’au détour d’un énième danger (plante carnivore, bestiole venimeuse, lapin adulte…), on tombe par hasard sur un truc improbable, le spécimen inconnu qui éveille toute notre curiosité. C’est un peu ce qui s’est passé avec Polara. Le soft n’est pas tout neuf : créé par le studio canadien Hope This Works et sorti fin 2012 sur mobiles, Polara fut relancé, adapté et édité en Europe par Circle Entertainment, via une version 3DS en 2016 puis sur Vita aux US à l’automne dernier. Découvert sur la portable de Nintendo au détour des soldes eShop fin 2017, Polara mérite définitivement qu’on s’y attarde.
Nouvelle année et nouvelles règles pour la Sélection. Pour les jeux de 2017, nous vous avons demandé de voter pour tous les jeux que vous avez aimés, mais en même temps nous avons aussi placé un petit email pour obliger les gens à se signaler et donc, éviter un maximum les spams. Cela a très bien fonctionné et nous donne une Sélection finale basée sur une centaine de votants uniquement.
La dernière fois que j’avais parlé du studio néerlandais RageSquid, c’était pour Action Henk, un excellent runner surnommé affectueusement « le mec qui glisse sur les fesses » par mes enfants. Les voici de retour avec un nouveau jeu de vitesse, Descenders, qui propose des descentes endiablées en VTT.
Parmi le Sacro-Saint des Seins qui s’appelle Steam, le sexe appliqué n’existe point. La nudité à peine tolérée. Par conséquent dans le royaume de l’hypocrisie, les patchs anti-censure sont rois. Le porno game existe depuis que l’électronique s’est faite ludique et n’est pas prêt de partir. Il est même la seule et unique raison pour laquelle les ordinateurs de bureau n’ont jamais totalement disparu au Japon au profit des consoles au Japon ; les Nintendo et autres Sony ne voulant pas de cette tambouille-là, préférant garder leur image familiale intacte de toute perversité lubrique. Quand à la Xbox, elle aurait pu s’y engouffrer pour enfin se vendre au pays du Soleil Levant. House Party joue dans cette catégorie à la moralité grise. Vendu officiellement sur la machine à vapeur comme un jeu d’aventure, il se cache en vérité derrière une simulation de plan cul bien grivoise.
Développé par underDOGS Gaming Private Limited, Till the dawn, waiting est un jeu narratif dramatique,
Sorte de FTL et de jeu de stratégie économique, Bounty Train témoigne de son amour des trains au travers de la conquête de l’Ouest américain en pleine période historique de la guerre de Sécession. Bien qu’il s’agisse d’un jeu sur rails, il n’est pourtant pas avare en liberté de progression, fait d’allers et retours sur l’est d’un pays en devenir et rêvant d’ouest comme jamais.
Habitué de la méthode, le studio valencien (pas les valenciens de France mais d’Espagne) renoue de nouveau avec des projets de jams pour en réaliser une version bien plus complète, tout comme ils l’ont fait avec leur précédent titre: Gods Will Be Watching. Afin de ne pas être trop perturbé dans leur processus de création, le studio a de nouveau signé avec Devolver Digital (rien d’étonnant étant donné que le titre est en phase avec la « marque » Devolver). Même recette, même succès ?
The Inpatient est la nouvelle production de Supermassive Games, le studio anglais déjà à l’origine de l’excellent Until Dawn et son shooter dérivé en réalité virtuelle, Rush of Blood. Il y a encore une fois un lien avec l’univers d’Until Dawn, puisqu’il s’agit ici de raconter les origines de l’épidémie wendigo. Une approche narrative, de la VR pour plus d’immersion, et bien évidemment une ambiance horrifique : bienvenue un monde étrange et inquiétant.
L’année commence à peine que débarque déjà Celeste, un jeu à l’aspect si innocent qu’on
Alors que la mode des jeux avec des zombies s’est un peu estompée, Numantian Games sort son jeu en Early Access à base de morts-vivants, They Are Billions. Ce jeu de stratégie en temps réel nous propose dans sa version Early Access de faire survivre un village face à un monde rempli de créatures d’outre-tombe. Ce concept toutefois classique arrivera-t-il à convaincre jusqu’à la véritable sortie du jeu ?