L’évènement Nintendo Paris 2018 nous a permis de faire quelques parties à Killer Queen Black suite de Killer Queen. Killer Queen est jeu de plateforme et de stratégie compétitif créé par Josh DeBonis and Nikita Mikros, sorti sous forme de borne d’arcade en 2013.
Nous avons eu un aperçu exclusif du nouvel épisode de la série Mario Party. Pour ceux qui ne connaissent pas la série (et pourtant il y a déjà eu 15 épisodes), Mario Party est une série qui débuta il y a 20 ans sur Nintendo 64 et qui mélange jeu de l’oie et mini jeux à plusieurs. Initialement crée par Hudson Soft, la série fut reprise à partir de l’épisode Mario Party 9 sur Wii par Nd Cube une filiale de Nintendo.
L’évènement Nintendo Paris de cette semaine fut aussi l’occasion de pouvoir essayer Pokémon : Let’s Go, Pikachu et Pokémon: Let’s Go, Evoli (ainsi que le nouvel accessoire : la Poké Ball Plus). PokéMon: Let’s Go revisite sur Nintendo Switch l’univers des premiers jeux Pokémon sortis sur Game Boy (couramment appelés dans nos contrées Bleu, Rouge et Jaune) et permet d’arpenter la région de Kanto en compagnie de Pikachu ou Evoli selon la version.
Lors de son événement annuel parisien d’après E3 réservé à la presse, Nintendo avait mis de nombreuses bornes à disposition des journalistes et blogueurs pour s’assurer que tout le monde puisse essayer le futur rouleau compresseur de la Switch. Notre partenariat avec le blog de GamerDePereEnFils nous permet de vous en dire davantage…
Avec Unavowed, Wadjet Eye donne l’impression de vouloir trancher avec ses habitudes pour mieux se mettre au défi. Retournant tout de même à ses premiers amours, leur dernier jeu d’aventure va mélanger le surnaturel si familier du développeur/éditeur avec l’intention d’offrir une expérience narrative à embranchements multiples. Alors, certes cette promesse a souvent été faite par d’autres sans jamais parvenir à nous convaincre. Mais avec celui-ci, il se pourrait bien que cela fonctionne.
J’en parlais en stream récemment, il y a peu de hack’n slash futuristes et des bons encore moins. Heureusement, certains studios tentent parfois le coup et c’est le cas aujourd’hui de Rimware qui a lancé Origin Space en accès anticipé en décembre dernier. Au programme, du loot, de l’exploration, de la vaporisation d’ennemis par paquets de 50, etc.
Après avoir travaillé sur Diablo, Diablo 2, Hellgate London, Marvel Heroes et même Path of
Hexen, Heretic, deux jeux mythiques du monde du FPS PC qui sont aujourd’hui un peu tristement oubliés par les joueurs. Tous ? Non ! L’équipe de développement derrière AMID EVIL est totalement partie pour nous proposer un digne successeur de ces titres…
Mal-aimé, attendu comme le messie du fun entre amis pour certains et comme le dernier coup de grâce porté au studio Rare pour d’autres, Sea of Thieves débarque à 70 € dans un milieu de jeux en équipe qui ne dépassent que rarement la moitié de ce tarif. Mais voilà : il semble propre visuellement, complètement porté vers un univers de Pirates cartoon comme on l’a toujours rêvé et est porté par des streameurs qui n’en décollent pas. Deux semaines après la sortie, qu’en penser réellement ? Et bien déjà, appelons ce texte une preview et non pas un test…
Composé d’anciens de Westwood Studios (Command & Conquer, Alerte Rouge…) et studio de développement des sympathiques Star Wars : Empire at War comme du moins passionnant Grey Goo, Petroglyph Games tente de revenir sur le devant de la scène avec un jeu en Early Access aux idées nouvelles… Mais à l’exécution très classique.
Après un premier épisode très réussi bien que lorgnant d’un peu trop près Left 4 Dead, Fatshark revient avec un second Warhammer Vermintide bien décidé à gommer les défauts soulevés par sa communauté. Le week-end dernier aura été l’occasion de tâter de la bête à l’occasion d’une beta.
La dernière fois que j’avais écrit sur un jeu se jouant en multi, c’était pour Rocket League. J’étais tombé amoureux du jeu et vu le nombre de copies vendues depuis, il semble que je n’ai pas été le seul à être conquis. Cette fois-ci pas de voitures volantes au programme, mais un sport brutal mêlant éliminations et esthétique à la Tron.
La dernière fois que j’avais parlé du studio néerlandais RageSquid, c’était pour Action Henk, un excellent runner surnommé affectueusement « le mec qui glisse sur les fesses » par mes enfants. Les voici de retour avec un nouveau jeu de vitesse, Descenders, qui propose des descentes endiablées en VTT.
Parmi le Sacro-Saint des Seins qui s’appelle Steam, le sexe appliqué n’existe point. La nudité à peine tolérée. Par conséquent dans le royaume de l’hypocrisie, les patchs anti-censure sont rois. Le porno game existe depuis que l’électronique s’est faite ludique et n’est pas prêt de partir. Il est même la seule et unique raison pour laquelle les ordinateurs de bureau n’ont jamais totalement disparu au Japon au profit des consoles au Japon ; les Nintendo et autres Sony ne voulant pas de cette tambouille-là, préférant garder leur image familiale intacte de toute perversité lubrique. Quand à la Xbox, elle aurait pu s’y engouffrer pour enfin se vendre au pays du Soleil Levant. House Party joue dans cette catégorie à la moralité grise. Vendu officiellement sur la machine à vapeur comme un jeu d’aventure, il se cache en vérité derrière une simulation de plan cul bien grivoise.
Alors que la mode des jeux avec des zombies s’est un peu estompée, Numantian Games sort son jeu en Early Access à base de morts-vivants, They Are Billions. Ce jeu de stratégie en temps réel nous propose dans sa version Early Access de faire survivre un village face à un monde rempli de créatures d’outre-tombe. Ce concept toutefois classique arrivera-t-il à convaincre jusqu’à la véritable sortie du jeu ?
Si vous êtes comme moi, les screenshots de Blazing Beaks vous ont immédiatement fait penser à Nuclear Throne. Pourtant, après quelques heures passées sur le titre du studio Applava, je peux vous garantir que les deux jeux sont différents.
Les jeux de mini-golf sont l’archétype du soft simple et convivial (on en trouve une
À la Gamescom il y a plusieurs types de journalistes, ceux qui font la course aux news et écrivent le soir même, ceux qui passent 3 semaines à rédiger après l’événement, et il y a moi. J’écris forcément une partie de mes previews dans les semaines suivantes mais, à raison de 30 minutes par jeu sur 3 ou 4 jours, j’accumule bien trop d’informations.
Il faut croire que la vague « craft/survie/what else » est loin d’être terminée. Après Minecraft, Terraria,
Quand je saisis un test ou une preview sur GSS, j’en profite également pour aller